Il y a 10 jours, le journal Le Matin, nous rapportait la mésaventure de la jeune neuchâteloise de 18 ans Fanny Schlatter qui a vu son Galaxy S3 prendre feu dans la poche de sa salopette. Les dégâts ont été assez importants au niveau de sa cuisse laquelle est bandée sur l’image ci-dessus.
Ce même journal Suisse revient sur l’affaire. Après plusieurs tests en laboratoire à Dübendorf, les résultats sont non-contestables. Fanny utilisait une copie de batterie, déclare Mirjam Berger, porte-parole de Samsung Suisse.
Pour rappel, Fanny a été brûlé au premier degré et une greffe est nécessaire pour Fanny afin de retrouver une cuisse presque normale. En revanche, les frais hospitaliers ne seront pas pris en charge par Samsung. Il n’est pas non plus question qu’elle reçoivent une quelconque compensation ou dommages et intérêts. Du fait que la batterie n’était pas d’origine, la firme sud-coréenne estime qu’elle n’est pas fautive.
Fanny est encore étonné de cette finalité :
«J’ai été surprise et choquée quand Samsung m’a appris la nouvelle car la batterie en question portait le sigle de l’entreprise.» C’est également l’occasion pour Samsung de rappeler que les utilisateurs ne doivent pas utiliser de batteries non adaptées sur ces produits, au risque de rencontrer le même problème que Fanny.
(Merci à Raymond.G)
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le mieux est de ne pas acheter Samsung !!!
Ca peut arriver à n’importe qu’elle marque. l’iPhone a déjà eu ce genre de souci. Samsung fait quand du mon matos, faut pas exagéré…
Ca lui apprendra à utiliser des batteries de merdes. Faut jamais prendre des trucs adaptées, il y a trop de souci même avec de nombreux accessoires. J’en ai fait l’amère expérience à plusieurs reprises.