Nerial et BulkyPix annoncent la prochaine sortie du jeu de stratégie Devouring Stars sur iOS. Le jeu de stratégie cosmique sera disponible dès demain sur l’App Store et vendu à 4,99€. Devouring Stars associe la combinaison dynamique d’unités et collecte de ressource dans des décors spatiaux d’une rare beauté, tant visuelle qu’audio.

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Dans Devouring Stars, déjà disponible sur PC/Mac/Linux, le joueur guide une tribu d’entités divines chassée par quatre autres clans. Pour se défendre, chaque entité peut dévorer des champs d’étoiles afin de créer des nébuleuses protectrices. Les entités peuvent également fusionner entre elles pour former des unités supérieures. Plusieurs stratégies différentes pourront ainsi être déployées en fonction de la composition d’entités choisies par le joueur au début d’une partie.

Devouring Stars tire son inspiration du roman « Illium » de Dan Simmons, mais aussi de jeux comme Eufloria, Starcraft ou Faster Than Light.

Un solide portage mobile, avec même quelques améliorations visuelles

Bien que sorti d’abord sur PC, Devouring Stars avait à l’origine été pensé pour le mobile. Sans surprise, cette adaptation se joue à la perfection sur écrans tactiles.

Mieux, elle se paye même le luxe d’être un poil plus jolie que la version PC : « Devouring Stars est plus beau sur iPhone et iPad. Sur PC, les différences de qualité entre les différents écrans représentent une vraie contrainte. Pour cette version iOS, j’ai pu me concentrer sur le fait de trouver les couleurs et l’atmosphère que je souhaitais », précise ainsi François Nerial Alliot.

Caractéristiques :

  • 15 entités avancées à débloquer par la fusion des entités de base (Terre, Air, Feu et Eau)
  • Des champs d’étoiles générés, renouvelant sans cesse l’expérience de jeu
  • Des milliers d’étoiles affichées dynamiquement grâce à un système de gestion de particules unique en son genre
  • Des milliers d’environnements différents
  • 4 tribus ennemies, chacune avec leurs propres spécificités et comportements
  • Et quelques secrets biens cachés…

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