Il fallait bien s’attendre que le gouvernement chinois réagisse aux éventuels backdoors que pouvaient dissimuler certains appareils de haute technologie (mobiles, ordinateurs…). Le gouvernement a donc pris des mesures draconiennes en supprimant plusieurs entreprises de premier plan des États-Unis incluant Apple dans le lot, rapporte Reuters.

Li Keqiang, vice-premier ministre chinois
Li Keqiang, vice-premier ministre chinois avec Tim Cook, PDG d’Apple

En procédant ainsi, le gouvernement chinois met à l’écart toutes fuites possibles de ses actions politiques et autres, mais également l’éventualité d’être surveillé par la NSA. Ainsi, d’autres sociétés comme Intel, Cisco, McAfee font aussi partie de cette blacklist. Toutes les agences et autorités liées a gouvernement ont désormais l’interdiction de faire la moindre commande auprès des ses entreprises américaines par mesure de sécurité nationale.

Bien que la raison de cette blacklist pourrait être en effet liée à la sécurité du gouvernement chinois, il se dit par d’autres sources citées par Reuters que cela pourrait qu’un écran de fuméee pour permettre aux entreprises locales d’obtenir plus de commandes et de les relancer efficacement sur le marché local.

Au total, la liste noire du gouvernement chinois comprendrait près de 5000 entreprises de haute technologie.

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