L’année dernière, Samsung a officiellement lancé son Galaxy Note7 lequel a très vite été retiré de la circulation en raison de plusieurs cas d’explosions de la batterie.

Depuis, la firme Sud-coréenne a lancé une enquête afin d’en déterminer les causes avec l’aide de l’organisation de sécurité américaine UL. De son côté, le laboratoire du gouvernement coréen a également ouvert sa propose enquête pour les mêmes raisons.

Initialement, le rendu de deux enquêtes devait avoir lieu avant la fin décembre. Mais un retard a été constaté, et une source proche du dossier a confirmé qu’une annonce sera très probablement faite le 10 janvier ou à la fin du mois de janvier au plus tard.

Un responsable de KTL annoncera  les conclusions : « Nous n’avons pas encore confirmé les résultats de l’enquête d’UL ». Bien que ni Samsung ni le gouvernement ont expliqué ce qui n’allait pas avec l’appareil, le journal The Korea Herald explique que ce n’est pas « un simple dysfonctionnement de la batterie », d’ajouter que les deux parties sont en train de peaufiner les détails pour dévoiler le résultat final.

Plusieurs observateurs de l’industrie pensent qu’il est important pour Samsung d’apporter des réponses à cette question afin de regagner la confiance des consommateurs avant le lancement du Galaxy S8 en avril. Kwon Oh-hyun, le vice-président et PDG de Samsung a rappelé lors d’un discours que « Samsung Electronics devait se transformer après cette leçon coûteuse l’année dernière », faisant référence à l’arrêt total de la production et la vente du Galaxy Note7 ainsi qu’aux rappels des appareils déjà en circulation.

De manière éviter qu’une telle histoire n’ait à nouveau lieu à l’avenir, le gouvernement coréen a décidé de prendre de nouvelles mesures : « Le gouvernement prépare une révision des règlements de sécurité pour éviter qu’un accident semblable ne se reproduise ».

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