Alors que Donald Trump ne prendra sa nouvelle fonction de président des États-Unis que le 20 janvier prochain, le temps pour lui de se constituer une équipe, il avait précédemment déclaré qu’il forcerait Apple à construire ses iPhone localement.

En contre-partie, il promettait aussi de permettre à Cupertino de rapatrier d’Irlande son trésor de guerre avec une taxe revue à la baisse pour l’occasion.

Apple s’est alors tournée vers Foxconn, son plus grand partenaire, mais aussi vers Pegatron laquelle refusée, pour calculer le coût de la production d’iPhone aux États-Unis.

Foxconn a commencé les discussions préliminaires pour son éventuelle arrivée aux États-Unis, où la société chinoise pourrait investir 7 milliards de dollars et en créant plus de 50.000 nouveaux emplois.

Bien que Foxconn ait déjà deux petites usines de production en Virginie et dans l’Indiana, ce éventuel futur investissement demande une vraie réflexion, tant sur le plan économique que l’emploi.

Pour l’heure, les discussions sont en cours, nous verrons dans l’avenir si nous verrons « Assembled in California » écrit au dos des futurs iPhone…

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